Sanseverino fait sa promenade postprandiale accompagné dans les ruelles de Saint-Emilion
Sous un soleil d’hiver pointu, mais par une température fraîche, le village renommé était quasi-désert, perdant, du coup l’air de Disneyland encombré qu’il prend à la belle saison.
Le chanteur et ses amis ont hésité un peu sur une des placettes du village, avant de suivre le même parcours qu’un groupe de touristes italiens vrombissant derrière leur guide portant un drapeau bleu, non sans avoir poussé quelques éclats de son rire si reconnaissable. Ils ont disparu dans une rue en escalier. D’actives recherches n’ont pas permis de le recroiser dans la bourgade, ni de savoir ce qu’ils avaient prévu pour le réveillon du 31.
Stéphane Sanseverino portait un baggy noir confortable marqué d’une étoile rouge, une veste sombre, un bonnet de laine grise lui camouflait presque tout le crâne et lui mangeait une partie du visage, laissant quand même apparaître les anneaux d’argent qu’il porte aux deux oreilles, ce qui a permis de l’identifier sans mal.
Cyril, reporter éphémère en Bordelais.